ETAPE 1 : Je m’informe et je découvre des formations

• De décembre à janvier : je prépare mon projet d’orientation
• Début décembre : je renseigne ma fiche de dialogue
• A partir du 20 décembre : ouverture de Parcoursup.gouv.fr

ETAPE 2 : Je m’inscris et je formule mes vœux

• Tout au long du 2e trimestre : journées portes ouvertes et salons d'orientation
• Du 17 janvier au 14 mars
• Jeudi 14 mars : dernier jour pour formuler mes vœux
• Mercredi 3 avril : dernier jour pour compléter son dossier et confirmer ses vœux

ETAPE 3 : Je reçois les réponses des formations et je décide

• Jeudi 30 mai : réponses des formations
• Du 16 au 23 juin : suspension des délais de réponse pendant les épreuves du baccalauréat
• Mardi 11 juin : ouverture de la phase d'admission complémentaire
• Du 1^er au 3 juillet : classement des vœux en attente
• Lundi 8 juillet : résultats du baccalauréat
• Jeudi 11 juillet : fin de la phase principale

Calendrier ParcourSup

C’est une lettre de motivation destinée à l'établissement que le lycéen souhaite intégrer. Ce document doit permettre au jeune de décrire son projet professionnel futur et ses motivations.

Il y a donc autant de projets de formation motivés que de vœux formulés sur ParcourSup.

Il est indispensable de les rédiger avec soin et de prendre en compte les critères généraux d’examen des vœux (CGEV) lors de la rédaction. En effet, les CGEV permettent aux formations de préciser les éléments quantitatifs ou qualitatifs d'ordre général étudiés lors de l’examen des dossiers.

On peut formuler au maximum 10 vœux.

Certaines formations sélectives prévoient des sous-vœux (CPGE, BTS, …) élargissant l’échelle de recrutement ou le type d’admission.

Certaines ne permettent pas de formuler de sous-vœux, d'autres imposent une limite de 10 et, pour d'autres encore, c'est illimité.

Il est possible de formuler 10 vœux supplémentaires pour des formations en alternance.

Concernant les études santé, une licence avec option "accès santé" (L.AS) compte pour un vœu, quel que soit le nombre de mineures choisies. En Ile-de-France, le parcours d'accès spécifique santé (PASS) des universités franciliennes choisies compte pour un seul vœu.

Il n’y a pas de hiérarchisation des vœux lors de la phase d’admission principale.

Attention à ne pas émettre uniquement des vœux des formations sélectives !

Prévoir aussi des vœux sur des formations non sélectives afin de s’assurer de pouvoir être accepté dans une formation compatible avec ses centres d’intérêt.

Des informations techniques sont accessibles ici

Vous trouverez également des informations sur la procédure de sélection des dossiers sur la plateforme ParcourSup : le poids des disciplines, des compétences transverses (méthodes, savoir-être), de la lettre de motivation, des centres d’intérêt…

Les dossiers sont reçus par les établissements qui les analysent individuellement. Aucun dossier n’est accepté ou refusé automatiquement. Ce sont les enseignants et responsables de la formation qui traitent les dossiers.

Les dossiers sont analysés individuellement par les enseignants de la formation. C’est la cohérence du dossier qui fait la différence.

Le lycée d’origine est pris en compte, comme les notes, les appréciations, le classement, la motivation etc. C’est un élément parmi d’autres.

Le temps nécessaire est propre à chacun. Mais c’est une étape importante dans la vie d’un lycéen qui ne doit pas « bâclée ».

Les projets doivent être cohérents avec la personnalité et le projet professionnel de l’élève. Le candidat dispose d’un mois entre la sélection des vœux et l’envoi des dossiers aux établissements pour rédiger les projets.

Les pourcentages affectés à chaque critère sont différents d’une formation à l’autre.

L’assiduité, le sérieux du candidat sont des critères indispensables. Pour mémoire, il existe des passerelles entre formations et filières. Ce n’est pas parce qu’on n’a pas été retenu dans une formation qu’on ne pourra pas exercer un métier dans cette filière ou une filière proche à l’avenir.

Il est normal de douter, il faut en parler.

Les CIOs tiennent des permanences, notamment celui de Massy chaque samedi après-midi.

Des psychologues sont présents également chaque semaine dans les lycées du territoire. Ils reçoivent avec ou sans rendez-vous selon des créneaux indiqués dans les établissements. Ne pas hésiter à prendre contact.

Rien n’est figé pour la vie. Le projet professionnel peut changer au fil des études puis de la vie professionnelle (la formation tout au long de la vie permet, après, de se laisser la possibilité de changer de voie).

La plateforme AVENIR de l’ONISEP peut vous aider dans vos choix d’orientation, notamment en vous apportant des infos sur la filière pro, le choix des spécialités en 1ere générale ou les secteurs d’activité à privilégier en fonctions des spécialités que vous avez choisi.

Le candidat est dans une démarche active. Dans le cas où le candidat est accepté dans au moins une formation, il a la possibilité :

• soit de donner une réponse positive définitive et de renoncer ainsi à ses autres vœux (afin de permettre à d’autres candidats d’obtenir satisfaction)
• soit d’accepter une proposition d’admission, tout en maintenant ses vœux en attente pour une ou des formations qui l’intéressent davantage que la proposition acceptée. A l’issue de la phase principale, le choix sous réserve devient définitif.

Un candidat ne peut pas conserver plusieurs propositions. Il doit en choisir une.

Attention : il faut regarder très régulièrement son compte ou les notifications envoyées.

Si le candidat est sur liste d’attente pour tous ses vœux, ses vœux restent en attente jusqu’à la fin de la phase principale. A cette étape, si le candidat n’obtient que des réponses en attentes ou négatives, il est invité à formuler de nouveaux vœux lors la phase complémentaire.

Jusqu’à la fin de la phase principale, le candidat peut accepter une proposition, tout en conservant les vœux l’intéressant davantage et pour lesquels il est « en attente ».

A compter du début de la phase complémentaire, la proposition d'admission acceptée sera considérée comme définitive.

Non. Afin de libérer des places qui pourront être proposées à d’autres candidats, il faut choisir la formation « préférée » entre les réponses positives, tout en indiquant dans le dossier si d’autres propositions en attente intéressent davantage. 

Les réponses parviennent par SMS, e-mail personnel et sur la messagerie ParcourSup. Il faut s’assurer d’être joignable pendant cette période.

Il est conseillé que le numéro de contact soit celui du jeune. Si les parents ou tuteurs indiquent leur numéro et e-mail, ils reçoivent également les notifications.

Dans le dossier ParcourSup, pour chaque vœu, sont accessibles, des informations telles que : la position dans la liste d’attente, le nombre de places dans la formation, la position dans le classement du dernier candidat ayant reçu une proposition d’admission l’année précédente… Cela peut donner une idée de la probabilité ou non d’obtenir une réponse positive.

Il est légitime de s’inquiéter à partir de fin juin.

La phase complémentaire débute le 11 juin. Elle s’adresse aux élèves qui n’ont pas de proposition d’admission, ou pas d’affectation les satisfaisant. Ils peuvent alors formuler de nouveaux vœux et se voir attribuer les places restantes.

Les places restantes dans les formations non sélectives sont proposées directement aux candidats. Elles ne peuvent, en effet, pas refuser de candidats, sauf si elles manquent de place, mais peuvent exiger le suivi d’un parcours spécifique.

Dans le cas d’une filière sélective, les dossiers des candidats sont étudiés et peuvent être refusés, comme dans la phase principale.

En cas d’absence de proposition, dans chaque académie, la commission d’accès à l’enseignement supérieur examinera la situation du candidat pour lui proposer d’autres formations proches de leurs choix initiaux.

Des informations techniques sont accessibles ici

Vous trouverez également des informations sur la procédure de sélection des dossiers sur la plateforme ParcourSup : le poids des disciplines, des compétences transverses (méthodes, savoir-être), de la lettre de motivation, des centres d’intérêt…

Les dossiers sont reçus par les établissements qui les analysent individuellement. Aucun dossier n’est accepté ou refusé automatiquement. Ce sont les enseignants et responsables de la formation qui traitent les dossiers.

Les dossiers sont analysés individuellement par les enseignants de la formation. C’est la cohérence du dossier qui fait la différence.

Le lycée d’origine est pris en compte, comme les notes, les appréciations, le classement, la motivation etc. C’est un élément parmi d’autres.

Le temps nécessaire est propre à chacun. Mais c’est une étape importante dans la vie d’un lycéen qui ne doit pas « bâclée ».

Les projets doivent être cohérents avec la personnalité et le projet professionnel de l’élève. Le candidat dispose d’un mois entre la sélection des vœux et l’envoi des dossiers aux établissements pour rédiger les projets.

Les pourcentages affectés à chaque critère sont différents d’une formation à l’autre.

L’assiduité, le sérieux du candidat sont des critères indispensables. Pour mémoire, il existe des passerelles entre formations et filières. Ce n’est pas parce qu’on n’a pas été retenu dans une formation qu’on ne pourra pas exercer un métier dans cette filière ou une filière proche à l’avenir.

Il est normal de douter, il faut en parler.

Les CIOs tiennent des permanences, notamment celui de Massy chaque samedi après-midi.

Des psychologues sont présents également chaque semaine dans les lycées du territoire. Ils reçoivent avec ou sans rendez-vous selon des créneaux indiqués dans les établissements. Ne pas hésiter à prendre contact.

Rien n’est figé pour la vie. Le projet professionnel peut changer au fil des études puis de la vie professionnelle (la formation tout au long de la vie permet, après, de se laisser la possibilité de changer de voie).

Les dossiers sont analysés individuellement par les enseignants de la formation. C’est la cohérence du dossier qui fait la différence.

Le lycée d’origine est pris en compte, comme les notes, les appréciations, le classement, la motivation etc. C’est un élément parmi d’autres.

Le temps nécessaire est propre à chacun. Mais c’est une étape importante dans la vie d’un lycéen qui ne doit pas « bâclée ».

Les projets doivent être cohérents avec la personnalité et le projet professionnel de l’élève. Le candidat dispose d’un mois entre la sélection des vœux et l’envoi des dossiers aux établissements pour rédiger les projets.

Les pourcentages affectés à chaque critère sont différents d’une formation à l’autre.

L’assiduité, le sérieux du candidat sont des critères indispensables. Pour mémoire, il existe des passerelles entre formations et filières. Ce n’est pas parce qu’on n’a pas été retenu dans une formation qu’on ne pourra pas exercer un métier dans cette filière ou une filière proche à l’avenir.

Il est normal de douter, il faut en parler.

Les CIOs tiennent des permanences, notamment celui de Massy chaque samedi après-midi.

Des psychologues sont présents également chaque semaine dans les lycées du territoire. Ils reçoivent avec ou sans rendez-vous selon des créneaux indiqués dans les établissements. Ne pas hésiter à prendre contact.

Rien n’est figé pour la vie. Le projet professionnel peut changer au fil des études puis de la vie professionnelle (la formation tout au long de la vie permet, après, de se laisser la possibilité de changer de voie).

• L’alternant a de vraies responsabilités, il gagne en autonomie dans l’entreprise ou l’administration qui l’emploie.
• Il est rémunéré et est sous statut salarié, ce qui implique sensiblement les mêmes droits et devoirs que ses collègues.
• Il acquiert une vraie expérience professionnelle et met en pratique ce qu’il vient d’apprendre à l’école dans son établissement d’accueil.

L’alternance est vectrice de réussite dès le CAP jusqu’au doctorat. Il existe désormais de nombreux masters en alternance avec d’excellents taux de réussite.

Choisir de faire ses études en apprentissage implique de chercher un contrat sans tarder, de préférence proche de son lieu d’études (ou éventuellement du lieu d’habitation de la famille) afin de ne pas devoir prendre deux logements ou de cumuler d’importants temps de transport.

Faire du business n’est pas un objectif en soi.

Des personnes formées au commerce (dans un CFA, en université ou en école de commerce) créeront leur entreprise, d’autres non.

A l’inverse, des personnes dans un secteur éloigné à priori du commerce (ex. la santé) auront une idée, un concept commercialisable… et créeront leur entreprise pour réaliser leur projet.

Désormais, différents dispositifs existent pour soutenir l’entrepreneuriat dans les universités ou les grandes écoles : diplôme étudiant entrepreneur, statut national étudiant entrepreneur... C’est le cas notamment à l’université Paris-Saclay (référents entrepreneuriats, journée de l’entrepreneuriat étudiant…).

Oui. Les vœux pour les formations en apprentissage sont dissociés des vœux en formation initiale. Il est donc possible d’émettre 10 vœux en formation initiale et 10 en apprentissage.

La CPGE prépare aux grandes écoles. Plusieurs filières sont disponibles :

• scientifiques,
• littéraires
• ou économiques.

Elles mettent l’accent sur la pluridisciplinarité et mènent aux écoles d’ingénieurs, vétérinaires, de commerce ou encore aux écoles normales supérieures.

Les « classes prépa » sont des filières sélectives. Néanmoins, elles ne sont pas toutes élitistes. Elles nécessitent surtout une grande capacité de travail. Il ne faut pas avoir peur de la classe prépa, les élèves y sont bien encadrés.

A l’inverse, il ne faut pas obligatoirement viser les prépas parisiennes, qui sont très élitistes. Le programme enseigné est le même dans tous les établissements, en fonction de la filière choisie.

La CPGE est une filière sélective. Sont sélectionnés, par les enseignants et responsables de formations, les dossiers semblant en adéquation avec ce type d’études. Ainsi, les échecs ne sont pas si fréquents.

Néanmoins, si l’étudiant se rend compte dès début septembre que le fonctionnement ne lui est pas adapté, il peut participer à la phase complémentaire de ParcourSup pour trouver une filière plus appropriée.

S’il est en décrochage à l’issue du premier semestre (niveau trop juste constaté ou souhait de l’étudiant de changer), il lui est possible de rejoindre sous condition une université, en filière non sélective.

Enfin, si l’étudiant a validé son année, mais soit avec un niveau trop faible pour accéder en 2ème année soit sans volonté de poursuivre dans cette voie, il peut s’inscrire en 2ème année de licence à l’université (L2).

Des passerelles existent, mais il est nécessaire de prendre rendez-vous avec le CIO, de construire un nouveau projet afin d’assurer sa poursuite d’études.

Les lycées proposent différents BTS, en formation initiale et/ou en apprentissage (niveau atteint : Bac+2).

Ils peuvent également proposer des licences professionnelles (accessibles à Bac+2) en partenariat avec une université.

Si l’insertion professionnelle immédiate est tout à fait possible, de nombreux étudiants poursuivent en fait des études (à l’université voire en école d’ingénieurs).

Cette distinction n’a plus de sens aujourd’hui. On parle désormais de parcours.

La question à se poser est celle du projet professionnel et la voie que je choisis pour y parvenir. De nombreuses passerelles existent. En revanche, les études sont plus ou moins théoriques et c’est un aspect à prendre en compte en fonction de ses appétences.

Le brevet de technicien supérieur (BTS) et le bachelor universitaire de technologie (BUT : successeur du DUT depuis la rentrée 2021) sont des formations courtes qui se déroulent respectivement en deux et trois années d’études après le bac. Le BUT confère le grade de licence.

Ces deux filières permettent :

• une insertion professionnelle immédiate
• ou la possibilité de poursuivre des études.

Le BUT est plus généraliste, il se fait en université (fonctionnement universitaire). Les spécialités de BUT sont généralistes et ouvrent à des métiers divers sur un secteur d’activité. Il se prête davantage que le BTS à la poursuite d'études longues (master professionnel, école d’ingénieurs, de commerce…).

Le BTS se fait en lycée. De plus en plus d’élèves en BTS poursuivent leurs études avec une licence professionnelle, obtenant ainsi un Bac+3 minimum. Certains, plus rares, accèdent ensuite à une école de commerce ou d’ingénieurs.

L’université propose des filières non sélectives, accessibles à tous en fonction des places disponibles (et éventuellement du suivi d’un parcours spécifique), et des filières sélectives.

Il est important de ne pas choisir, dans ParcourSup, que des filières universitaires sélectives ou en tension (biologie, droit, STAPS, santé) afin de s’assurer une place dans une filière permettant de répondre à son projet professionnel et ses centres d’intérêt.

50% des étudiants en BUT proviennent d’un baccalauréat général et 50% d’un bac technologique.

La variété des parcours est très large :

Filières non sélectives : licence (mais sous réserve d’un nombre de places disponibles et sous condition possible de suivi d’un parcours spécifique)

Filières sélectives : licences double-diplôme (Bac+3), BUT (Bac+3), DEUST (Bac+2), école d’ingénieurs avec prépa intégrée (réseau Polytech – Bac+5)

Cas particulier des études de Santé : Parcours Accès Santé Spécifique avec une mineure au choix (PASS) ou Licence Accès Santé (LAS) avec une mineure santé

Ces deux parcours sont des licences et permettent d’accéder aux études de santé (MMOP – médecine, maïeutique, odontologie, pharmacie). Elles ne sont pas sélectives en tant que telles mais fortement en tension : la demande étant supérieure à l’offre.

Malgré la suppression du numérus clausus, ces études sont, de fait, très sélectives.

En PASS (successeur de l’ancienne PACES), la santé est la discipline majeure à laquelle il faudra ajouter une autre discipline, dite mineure (biologie, chimie, lettres, langues, droit…). Le rythme de travail est très intense, similaire à celui d’une classe préparatoire avec des matières spécifiques au monde de la santé (biologie cellulaire, anatomie, médicament…).

En L.AS, la santé est une option, donc une discipline mineure. C’est une licence classique (droit, éco-gestion, sciences fondamentales…) avec option santé (ensemble de compétences dans les matières santé). Elle demande également une grande capacité de travail.

Cette année encore, le nombre de places disponibles à l’issue de la L1 est identique, selon que l’on vienne d’un PASS ou d’une L.AS.

En PASS

Il n’est pas possible de redoubler l’année. L’étudiant doit réussir les épreuves écrites et orales et être suffisamment bien classé au regard des places disponibles pour accéder en 2ème année de santé. S’il n’est pas admis aux études de santé mais a validé son année (il a obtenu la moyenne), il peut poursuivre en 2ème année de licence de la mineure choisie et candidater de nouveau aux études de santé après, au moins, une année supplémentaire (fin de L.AS 2 ou fin de L.AS 3).

En L.AS

Il est possible de redoubler l’année. Si l’étudiant n’est pas admis aux études de santé mais a validé son année (il a obtenu la moyenne), il peut poursuivre en 2ème année de licence de la majeure choisie et candidater de nouveau aux études de santé après au moins une année supplémentaire (fin de L2 ou fin de L3). Si l’étudiant n’a pas validé sa L.AS, il peut redoubler la 1ère année de licence de sa mineure (L1) ou se réorienter via ParcourSup (sauf accès santé). Il pourra candidater de nouveau aux études de santé s’il valide sa L1 à l’issue de son année de L.AS 2 ou l’année suivante de L.AS 3.

Les deux parcours permettent d’accéder aux études de santé. Si l’on n’est pas sûr de son choix ou de sa capacité à réussir la PASS, la L.AS permet de sécuriser son parcours.

Il est utile de noter qu’il est possible de travailler dans le secteur de la santé, ou proche de celui-ci, sans suivre ces parcours (biologie, éthique, droit…).

Il existe désormais une mission ou à minima un référent handicap dans tous les établissements.

Le dossier du lycéen avec toutes ses caractéristiques est transmis à l’établissement d’enseignement supérieur qui peut donc proposer des aménagements à l'étudiant en fonction de son profil.

Pour connaître les différents types d'aménagements proposés et savoir comment est pris en compte le handicap en général, il est important de prendre contact avec l’établissement envisagé en amont du dépôt des vœux éventuellement, mais surtout dès l’obtention d’une réponse positive.

Il est normal de ne pas être sûr de son futur métier et d’être en plein questionnement. Le projet professionnel évolue au fil du temps.

Les Journées Portes Ouvertes sont un moyen à la fois de se renseigner sur les méthodes et les matières enseignées, mais également d’échanger avec des étudiants, des enseignants et des anciens élèves.

Le droit à l’erreur existe, la réorientation également. La formation tout au long de la vie permet, après le début de la vie professionnelle, de se laisser la possibilité de changer de voie.